Le bilan de Macron : une longue liste de souffrances pour les victimes du système qu’il soutient…

On n’arrête pas de nous servir le bilan de Macron. A l’heure de la présidentielle, c’est normal, me direz-vous. Mais de fait ses thuriféraires ne se lassent pas d’établir des litanies de louanges interminables sur lesquelles il est véritablement crucial de revenir. Parce que la vérité est tout-de-même bien moins rose que prétendu. La réalité est que cette gouvernance est la plus abominable, la plus horrifique, de la 5ème république. Jamais un président fut si méprisant, si méchant envers le peuple. Même Sarkozy fait figure de socialiste respectueux à côté. Vous me direz, ce n’est pas que j’aie forcément le plus grand respect pour la masse beuglante, mais moi je ne suis pas président.? Continue reading

La transition sociétale préalable à la mobilisation

Le travail, comprendre la nécessité d’avoir un emploi pour vivre, seule fonction humaine possible actuellement pour le commun des mortels en âge d’actif, empêche la mobilisation. Toutes les mobilisations sont concernées, qu’elles soient sociales ou écologiques et ce pour tout un tas de raisons. Le travail est obnubilant, il focalise la pensée de manière centrale et multilatérale. Il implique une organisation, des efforts, divers types de souffrances, d’autant qu’il est incontournable, la survie en dépend. Continue reading

La relocalisation industrielle n’est pas une fausse bonne idée, mais une vraie mauvaise idée

C’est un discours récurrent que la « désindustrialisation », que « nous avons confié le soin à d’autres de nous approvisionner ». L’idée que de relocaliser nous apporterait de la croissance est une vision pour le moins simpliste de la réalité économique de l’industrie. Cette pensée repose sur l’idée que l’emploi est favorable à l’humain et donc que d’en créer permet l’épanouissement, ce qui est un grave biais cognitif qu’il sera crucial d’éliminer. Là-dessus vient s’ajouter l’argument, pseudo-écolo et très populiste, de la réduction des transports, comme si d’importer de la matière première ou des produits semi-finis et d’exporter des produits finis était moins polluant que d’importer des produits finis. Absurde, évidemment, d’autant que le transport maritime et aérien ne représente quasiment rien dans la pollution anthropique mondiale, mais va encore polluer de moins en moins. En réalité, nous n’avons pas suffisamment délocalisé, pour plusieurs raisons, de même que nous n’avons pas suffisamment perdu d’emplois. Continue reading

L’impression en trois dimensions : une technique de fabrication révolutionnaire

Dès les débuts de la Révolution Industrielle au XIXème siècle, les premières machines à vapeur ont considérablement démultiplié la force musculaire des hommes. Le problème, c’est que ces mêmes machines étaient encombrantes par rapport à ce qu’elles étaient capables de produire. C’est pourquoi il fallait organiser la production en la divisant entre les fabricants de pièces détachées et les usines qui les assemblaient. D’immenses chaînes de production, incluant la manutention et le transport voient le jour. Toute cette chaîne de production et d’approvisionnement impliquait un coût marginal de production qui faisait que les produits avaient une certaine valeur, la valeur ajoutée. C’est sur la base de ce même coût marginal que le système capitaliste a reposé et repose toujours en ce XXIème siècle

L’impression en trois dimensions, apparue au début des années 2000, pourrait bien modifier tout le paradigme sur lequel repose notre système économique depuis la Révolution Industrielle. En effet, par ce mode de production, il est possible de produire de nombreuses pièces sur place, sans avoir à passer par des sous-traitants et des entreprises de manutention et de transport pour les acheminer. Ainsi, il est possible de produire en diminuant considérablement le coût marginal de production. Or, notre système capitaliste, reposant sur cette même notion de coût marginal, pourrait bien connaître un bouleversement dans son fonctionnement dès lors que ces imprimantes en trois dimensions vont se multiplier et seront en mesure d’imprimer de plus en plus de produit et seront de plus en plus accessibles pour les particuliers qui pourront ainsi produire à domicile ce dont ils ont besoin. Ce au fur et à mesure que l’on avance vers la fin du XXIème siècle. Ce mode de production n’est donc pas seulement un nouveau mode de production au même titre que la vapeur a remplacé la force musculaire des animaux et des hommes, c’est la charnière qui marquera l’apogée du capitalisme qui d’ici la fin du XXIème siècle, cédera la place à une nouvelle économie. Continue reading

La révolution numérique impose une horizontalisation du management des entreprises

Si l’automatisation a considérablement amélioré la productivité des entreprises, à tel point d’avoir de moins en moins besoin de main d’œuvre pour produire les biens et les services, elle a aussi bouleversé leur mode de gouvernance. Durant les débuts de la Révolution industrielle, les limites de la technologie imposaient un très grand nombre de salariés pour assister des machines qui ne pouvaient qu’augmenter leur force musculaire. De ce fait, il fallait organiser la production en la divisant en de nombreuses unités de production, où travaillaient un certain nombre d’ouvrier dans chacune d’entre elles. Chacune de ces sections étaient gérées par des managers qui rendaient des comptes à leurs supérieurs qui eux, géraient un ensemble d’unité de production.

Avec l’arrivée de l’automatisation de la production, les tâches intellectuelles sont devenues plus triviales que les tâches manuelles, désormais en grande partie exécutées par des robots et des ordinateurs. De ce fait, plus besoin d’un très grand nombre de salarié, qu’il faut gérés dans de nombreuses unités de production. Les postes nécessitent désormais de plus en plus de compétences et d’autonomie de la part de ceux qui les occupent. Ils nécessitent davantage de personnes instruites, disposées à penser plutôt qu’à exécuter des tâches répétitives à longueur de journée. Nous verrons que dans les entreprises de demain, qui évolueront dans le cadre d’un environnement économique collaboratif, les salariés ne seront plus de simples exécutants, mais de véritables collaborateurs indépendants qui développeront eux-mêmes l’entreprise pour qui ils travaillent. Continue reading

Une politique occidentale néocolonialiste sur l’Afrique désavantageuse aussi bien pour les africains que pour les occidentaux

Depuis de nombreuses années, le continent africain a toujours suscité la convoitise auprès de nombreuses civilisations, notamment auprès de l’occident. Occident qui dans un premier temps a acheté de la main d’œuvre pour la faire travailler dans les exploitations agricoles du nouveau monde dès le XVIème siècle, dans le cadre du fameux commerce triangulaire. Si cette traite d’esclave a su apporter de conséquents revenus, ce n’était qu’entreprise artisanale. Dès le milieu du XIXème siècle, dans le cadre de la colonisation, l’Occident a vu plus grand. Il ne s’agissait plus seulement d’acheter des familles pour en faire des esclaves, mais bien de s’approprier des territoires pour y exploiter les nombreuses ressources naturelles du continent africain.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les puissances occidentales perdent peu à peu leurs empires coloniaux. C’est le cas en Afrique, où la France disposait de territoire dans le Sahara jusqu’aux frontières de l’actuelle République Démocratique du Congo. Sauf que malgré la décolonisation amorcée fin des années 1950, la France, comme de nombreux autres pays occidentaux qui disposaient d’un empire colonial en Afrique, continuent de garder une emprise sur de nombreux pays du continent. Que ce soit par la déstabilisation politique dans le but d’amener au pouvoir un dirigeant acquis à la cause de l’Occident, ou encore en y contrôlant la monnaie par la frappe du Franc CFA par la France. Nous verrons que cette politique menée par l’Occident au détriment de l’Afrique et des Africains est également en lien avec le refus des pays développés d’évoluer vers la fin du travail. Continue reading

La mondialisation : une nécessité pour assurer le développement des États

Avec les progrès de la technologie, les échanges dans le monde se sont multipliés. Grâce aux nombreux moyens de transport, il est possible d’acheminer sur de longues distances un nombre incalculable de marchandise. Avec cette possibilité d’échanger, de plus en plus de pays se sont unis pour former des blocs et font ainsi tomber leurs barrières douanières, dans le but de faciliter le commerce. Ce qui a permis aux pays d’accroître la taille de leur marché et donc de s’enrichir mutuellement. Il suffit de comparer le niveau de vie de l’Occident et des BRICS du lendemain de Seconde Guerre Mondiale, jusqu’à aujourd’hui où il a considérablement augmenté.

Sauf qu’en cette période de crise, où le chômage s’est durablement installé dans les pays occidentaux, certains veulent tout simplement remettre en question cette mondialisation. On est de plus en plus tenté par un retour au protectionnisme. Ce en raison de la nostalgie d’une hypothétique période faste où chacun prospérait de son côté, à l’instar du début du XXème siècle où l’Occident dominait le monde à l’aide de son vaste empire colonial qui fournissait ressources et main d’œuvre. Certains pensent en effet que le chômage est dû aux délocalisations ainsi qu’à la concurrence des BRICS sur des produits de base. Sans parler des conséquences sur l’environnement avec la multiplication des moyens de transports polluants.

En réalité, il ne s’agit que du fait que nous ne sommes plus les seuls à produire les produits de bases que nous produisions un siècle auparavant. Mais cela signifie-t-il que nous n’aurons plus d’industrie ? En réalité, le problème est plus complexe que cela. Nous verrons également que la perte des emplois induites entres autres par les délocalisations ne sont pas un problème. Le problème, c’est cette société toujours paramétrée autour du travail, alors que l’automatisation avance également, et qui donc ne laisse que peu de perspectives à ceux qui ne peuvent plus travailler Continue reading

La dette publique : un boulet pour nos finances publiques. Vraiment ?

Dans la foulée de la crise de 2008, on ne peut s’empêcher de débattre au sujet de l’économie sans évoquer la question épineuse de la dette publique. De nombreux économistes alertent sur les conséquences d’un surendettement de l’État avec cette augmentation des dettes publiques des différends pays occidentaux. Sur les politiques à mettre en œuvre pour palier à ce problème, certains proposent de diminuer la dépense publique pour faire en sorte que l’État n’accroisse pas son endettement de manière excessif. D’autres proposent qu’on fasse fi des recommandations des spécialistes et qu’on annule purement et simplement notre dette publique, notamment sur le postulat comme quoi elle serait illégitime car possédée par quelques oligarques qui, par le biais des banques, engrangent indûment des intérêts sur la dette.

Toutefois, la question qu’il serait légitime de se poser, c’est pourquoi l’État s’endette ? Pourquoi depuis une quarantaine d’années, nos gouvernements ont voté et continuent de voter des budgets en déficit, qui doivent donc être compensés par de la dette ? Si cette dette était simplement le résultat de politiques mises en place pour satisfaire notre obsession à maintenir à tout prix l’emploi, bien que les entreprises n’en aient plus besoin pour produire les biens et les services ? Bref, nous verront qu’en réalité, la dette en elle-même n’est pas un problème. Le problème, que ce soit pour un État, une entreprise ou un individu, ce n’est pas la dette en elle-même, mais ce qu’on en fait. De plus, nous verrons que la politique pour l’emploi est intimement liée à ce risque de surendettement de l’État. Continue reading

Les cobots : un moyen de faciliter le travail des hommes ou une fuite en avant vers l’éternel refus d’évoluer vers la Transition Sociétale ?

Dans ce contexte où, depuis une trentaine d’année, les robots prennent de plus en plus de place dans le paysage industriel, les entreprises ont de moins en moins besoin de main d’œuvre pour produire les biens et les services. Le problème, c’est que cette situation fait que les individus trouvent de moins en moins de travail et se retrouvent dans un chômage de longue durée. Les privant de revenus, sinon les acquis sociaux fournis par l’État.

C’est donc dans ce contexte que l’État cherche des solutions pour faire en sorte de maintenir l’emploi malgré cette automatisation. Parmi ces solutions, il y a la politique pour l’emploi qui consiste à subventionner massivement et systématiquement les entreprises de sorte que, malgré qu’elles n’en aient pas l’usage, elles créent ou conservent des emplois. Avec l’usage des robots, une autre solution a vu le jour. Au lieu que des robots accomplissent l’intégralité du travail d’un homme, l’homme continuera de travailler en étant collègues de robots avec qui ils coopèreront. Ce sont les cobots. Seulement, nous verront qu’il ne s’agit là que d’une nouvelle fuite en avant pour refuser d’évoluer vers la Transition Sociétale. Continue reading

La guerre : une solution pour venir à bout d’une crise et faire repartir la société sur de nouvelles bases ?

C’est dans ce contexte de crise que nous traversons, que certains évoquent la guerre comme possibilité pour en quelque sorte réinitialiser la société. Cela en références aux périodes fastes qui ont succédé aux conflits mondiaux du XXème siècle. On se souvient de la folie économique des années 1920 qui a succédé à la Première Guerre Mondiale, ainsi que des Trente Glorieuses qui ont succédé à la Seconde Guerre Mondiale. On évoque souvent le fait qu’une guerre créerait des emplois et de nouvelles usines pour reconstruire le pays meurtri à la fin, et même pendant le conflit, en faisant référence à ces nombreux ouvriers au chômage aux États-Unis suite à la Grande Dépression et qui ont trouvé du travail durant la Seconde Guerre Mondiale dans les usines d’armement car il fallait de la main d’œuvre pour assurer l’effort de guerre.

Seulement, nous verrons qu’en réalité, c’est plus complexe que cela. En effet, il faut savoir que le contexte et le niveau de vie de la population n’était pas le même qu’aujourd’hui et que par conséquent, une nouvelle guerre génèrerait plus de problèmes, que de solutions à la crise que nous connaissons actuellement. Nous verrons aussi que non seulement une guerre n’est pas nécessaire, mais en plus, qu’elle donnerait un coup d’arrêt à notre processus d’évolution sociétale. Continue reading

La consommation de masse : une manière de redistribuer la création de richesse

On évoque souvent de la consommation de masse comme un élément inhérent à notre société capitaliste. Or, il se trouve que cette consommation de masse n’a été qu’un moyen de faire ruisseler l’incroyable création de richesse permise par les progrès de la technologie du XXème siècle. Si cette consommation de masse a été le symbole des Trente Glorieuse, elle avait un seul objectif : donner du travail à un grand nombre de personne. Objectif qui a permis à la majorité de la population de sortir de sa condition de subsistance dans les campagnes et de disposer ainsi d’un travail salarié, ouvrant la possibilité de prétendre à un revenu stable, des aides sociales et une retraite. Bref, autant d’élément qui ont permis à la population de jouir d’un nouveau de vie minimum, longtemps réservé à quelques privilégier. Continue reading

Des acquis sociaux qui nous coûtent un pognon de dingue. Vraiment ?

On a souvent coutume de dire que les aides sociales coûtent chers et encouragent l’oisiveté. Or, comme le démontre cette vidéo réalisée par des équipes de France Info, la réalité est bien plus nuancée que cela. Ces aides sociales sont en réalité à l’origine de l’incroyable élévation du niveau de vie que l’on connait actuellement. En effet, elles ont permis le ruissellement sur la population de l’incroyable création de richesse, permise par les progrès de la technologie qui ont amélioré la capacité de production des machines. Cependant, nous verrons aussi que dans ce contexte où le travail devient de moins en moins nécessaire pour produire les biens et les services, les aides sociales deviennent obsolètes. Continue reading

Les subventions peuvent-elles encore permettre aux entreprises de créer des emplois ?

Depuis les années 1980, l’informatisation a permis d’automatiser de nombreuses tâches répétitives qui jusque-là étaient effectuées par des humains. Les entreprises ont désormais de moins en moins besoin de salariés pour produire les biens et les services. C’est alors que le chômage de masse s’est installé, remettant en question notre mode de redistribution de la création de richesse par les salaires. Sauf qu’au lieu de faire en sorte que la société évolue pour s’adapter à cet état de fait et ainsi libère les individus de l’obligation de travailler pour gagner leur vie, on a mis en place de nombreux plans pour créer ou simplement maintenir les emplois. Ces plans se résument à une série de subventions et à des avantages fiscaux accordées aux entreprises. Continue reading

Une politique pour l’emploi qui affaiblit les entreprises technologiques françaises

Contrairement à ce qu’on peut croire, la France excelle dans de nombreux domaines, notamment les hautes technologies. Il suffit de voir le nombre croissant d’entreprises du secteur. Que ce soit dans les technologies médicales, les voitures autonomes ou encore l’intelligence artificielle, la French tech est dans tous les domaines. Cependant, on s’aperçoit qu’elle a du mal à émerger face aux géants américains et chinois. Elles manquent de ressources financières pour continuer à s’épanouir.

Cette situation est la conséquence directe de notre volonté à toujours subventionner les vieilles industries pour conserver l’emploi. En effet, tous les capitaux dilapidés dans les vieilles industries sont autant de capitaux qui ne vont pas dans des entreprises technologiques dont la France aurait largement la capacité de développer. Ce qui fait que technologiquement parlant, nous sommes dépendants des américains par les GAFAM (pour rappel, Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft), faute d’avoir les notre. Continue reading

L’automatisation de la production signe-t-elle la fin de l’humanité ?

Certains pensent que l’automatisation de la production de biens et de services avec l’intelligence artificielle faisant fonctionner des robots serait une menace pour l’humanité. En réalité, c’est tout le contraire, cette automatisation va lui permettre de pouvoir enfin se libérer du travail pour qu’elle gagne la place qui lui revient de droit et pour laquelle la nature l’a spécifiquement dotée, celle des penseurs créateurs. Place jusque-là réservée à une élite.

Le seul problème et qui ne manque pas de causer des effets délétères sur l’économie et le niveau de vie des populations, c’est le refus de s’adapter en conséquence. Ce qui fait que nous sommes dans une économie fonctionnant sur la redistribution de la création de richesse par le travail, alors que ce même travail, devenant de moins en moins nécessaire pour produire, se raréfie. Continue reading

Avec l’allongement de l’espérance de vie, il faut reculer l’âge du départ à la retraite. Vraiment ?

Avec l’allongement de l’espérance de vie, il est question pour la plupart de nos politiques de reculer l’âge du départ à la retraite. En effet, nombreux estiment que des retraités de plus en plus nombreux rendraient difficile le financement et la gestion de ces personnes dans leur vie post travail. C’est pour cela qu’à ce sujet, il est souvent question de reculer l’âge de départ à la retraite pour ainsi faire travailler plus longtemps nos aînés et ainsi générer des économies sur les pensions de retraite à verser. Seulement, c’est en réalité beaucoup plus compliqué que cela. Continue reading

La démocratie ne doit pas se résumer au référendum, elle doit être la conséquence de l’évolution de notre société.

Avec la défaillance de notre système démocratique actuel, la méfiance envers les institutions règne. C’est dans cette méfiance que nombreux sont ceux qui songent à mettre en place un nouveau modèle de société où les individus auront plus d’influence sur son fonctionnement. Parmi les solutions proposées, il y a la consultation par référendum d’initiative citoyenne. Sauf que nous verrons que le référendum, qui a déjà fait l’objet d’un article écrit par Thierry Curty, n’est pas la meilleure façon de consulter la population sur des sujets complexes.  Ce qui ne ferme pas la porte au fait que l’avenir soit une participation plus active des citoyens dans la vie politique. Sauf que c’est le système qui doit être démocratique. Continue reading

L’Action Mutuelle d’Investissement, le pilier de l’économie du XXIème siècle

Voici le parfait compromis entre création de richesse par le levier bancaire et le financement participatif, qui permet au peuple d’influencer sur les grandes orientations économiques en investissant dans des projets qui lui convient.

Pour certains qui se demandent si le revenu universel sera le seul et unique remplaçant des revenus du travail, ce ne sera pas le cas. Le revenu universel est en réalité le minimum dont chacun à droit, du simple fait de son existence, qui permettra aux individus de passer des revenus du travail vers ceux issus de leurs contributions dans l’économie réelle. Continue reading

Des élèves de plus en plus mauvais, ou un système éducatif inadapté aux enjeux du XXIème siècle 

On entend beaucoup que les élèves français ne sont pas à la hauteur. C’est le constat que tirent certains spécialistes en consultant les résultats des tests PISA qui déterminent le niveau des élèves dans des matières diverses et variées, et dont les résultats ne sont pas satisfaisants. Certains disent que cela incombe à une école qui n’est plus à même de répondre au besoin d’instruire. On projette de nombreuses réformes pour palier à ce problème récurrent, que ce soit en limitant le nombre d’élèves par classes, en recrutant le plus de professeurs possibles ou encore en ajoutant du matériel technologique. Et si les problèmes que rencontrent les élèves à l’heure actuelle venait tout simplement de l’obsolescence de l’école de Jules Ferry, qui sert encore de modèle pour notre système éducatif actuel ? Continue reading

Une croissance économique polluante et limitée par des ressources limitées. Vraiment ?

On entend un peu partout que notre monde est limité par des ressources naturelles limitées, et que l’épuisement de ces ressources compromettraient très sérieusement l’activité humaine qui se retrouverait à l’arrêt, faute de ressources naturelles pour l’alimenter. Alors c’est effectivement vrai dit comme cela, sauf que c’est vrai que parce qu’on utilise des ressources épuisables. Autrement dit, si on utilisait autre source d’énergie que les ressources fossiles, on pourrait tout aussi bien continuer.

Pour ce qui est de la pollution, c’est la même chose. Nous polluons uniquement parce que ce que nous utilisons pour produire pollue. Donc si nous utilisons une autre façon de produire, on pourrait le faire sans pollution. À noter que politique pour l’emploi et pollution sont liés.

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La crise de 2009 : le résultat d’un système économique à bout de souffle

Depuis la fin des Trente Glorieuses, les crises économiques n’ont cessé de se répéter. La dernière en date est celle de 2008-2009 dont les éléments déclencheurs ont été la crise des Subprimes et dans la foulée de cette crise, la faillite de la banque Lehman Brothers et tout son lot de conséquence. En cause, la financiarisation de nos économies avancées. Autrement dit, on investit de plus en plus dans des produits financiers plutôt que dans des entreprises. Et s’il y a une bulle et qu’elle éclate, tout s’effondre. Et les différents États paient les pots cassés. 

Et si cette même financiarisation, responsable des crises que nous connaissons, et de celle qui s’en vient en 2019 aux dires de certains, n’était en réalité que le résultat de l’épuisement de notre système économique basé sur la redistribution de la création de richesse par le travail ? En effet, durant la fin des Trente Glorieuses, notre évolution technologique a franchi un cap tel que l’humain n’est plus nécessaire pour faire fonctionner les machines, comme ce fut le cas auparavant. C’est à partir de là que le chômage de masse s’est peu à peu installé, ce qui porte à remettre en question le fonctionnement de notre système économique basé sur le travail. Continue reading

Une nouvelle économie émergente pas encore collaborative

Avec l’automatisation des tâches qui va mettre progressivement fin au salariat, l’avenir est clairement au travail ponctuel pour rendre des services et gagner de l’argent en conséquence. Le problème, c’est que ces plateformes collaboratives comme Uber, AirBnB ou autres ne représentent pas l’avenir, car elles ne sont pas collaboratives . Continue reading

GPA : IVG, avortement, mariage gay, PMA, adoption gay, mêmes peurs, mêmes croyances, même combat…

La GPA suscite l’émoi. Alors que des milliers et des milliers de GPA de part le monde se produisent de plus en plus fréquemment, il suffit que l’une ou l’autre se passe mal pour qu’on l’a prenne à témoin pour démontrer toute l’horreur de la chose. Et tant pis pour celles qui pensent le contraire et qui représentent comme de juste la grosse majorité, le web est émaillé de témoignages de mères porteuses heureuses. Tout ceci alors que la GPA ne relève rien de moins que de la liberté individuelle, tant que les droits de l’enfant ne sont pas compromis. Par le passé, exactement les mêmes  arguties, les mêmes archaïsmes, ont dû être combattus aussi bien pour le droit de vote des femmes que l’abolition de la peine de mort, l’IVG ou la contraception.  

La vérité est que d’ici peu la GPA sera aussi normale que toutes ces choses que les bigots arriérés  moralistes qualifient de violation des valeurs et, le cas échéant, de « marchandisation du corps ». Continue reading

L’impôt sur le revenu, né en 1916, obsolète aujourd’hui, cause de l’évasion fiscale

Retronews nous parle de « la difficile naissance de l’impôt sur le revenu », pourtant mesure d’égalité élémentaire au gré de la démocratisation du pouvoir d’achat en conséquence de la révolution industrielle qui apporte un revenu à un nombre croissant de gens. 

Désormais, alors que les paramètres qui induisaient sa pertinence à l’époque n’existent plus aujourd’hui, il est désormais échu et doit être aboli pour rétablir la justice et l’équité fiscale.  Continue reading

Stop avec l’ère du délire liberticide…

A Paris les cafés-concert baissent le rideau, le titre –choquant symptôme de l’absurde– du Parisien, symptôme de l’absurde lutte contre la vie de la société prétendument développée…

Moi, ce que je vois, c’est que si je veux faire de la moto et que je tombe dans un contrôle, comme je ne porterai pas le casque je devrai fuire et ça mettra ma vie en danger. Alors que de simplement respecter ma liberté personnelle tout le monde s’en porterait bien mieux !

L’atteinte aux libertés contraint à se mettre en danger pour vivre, la sécurité au prix de la liberté est une atteinte liberticide ! Continue reading

L’économie « partagée » n’est pas -encore- positive (ni partagée, d’ailleurs) !

L’Iddri produit une étude dans laquelle il démontre que l’économie partagée ne produit pas les effets escomptés, nous dit Les Echos.

C’est normal, il manque un pan à cette économie partagée, c’est la démocratie. Continue reading

Le référendum est-il démocratique ?

Avec la République numérique, oui, il faut introduire le vote permanent en ligne, mais au jugement majoritaire. La notion de « OUI/NON » ne permet pas la démocratie, mais juste le contrôle du peuple qui n’a d’avis construit que sur les thèmes purement sociétaux, comme la corrida, le mariage gay, l’avortement, la sécurité routière, l’âge de majorité, etc. Dès que l’on touche à l’économie, la géopolitique, des sujets très complexes, la portée lui échappe complètement. Continue reading

L’évasion fiscale réclame plus d’intégration européenne

Un certain nombre de pays de l’Union européenne pratiquent allègrement l’évasion fiscale. Concurrence fiscale déloyale (Irlande), stratagèmes d’optimisation fiscale (Pays-Bas), conditions d’établissement très allégées (Malte), montages offshore (Luxembourg), etc.

Nous le savons (mais la pente est glissante) et sur le fond, c’est vrai, mais la plupart de ces pays sont nos amis et l’optimisation fiscale est leur industrie. Si nous retirons cette fonction à l’Irlande ou au Luxembourg, de quoi vivent-ils ? Continue reading

L’UE autorise la semence paysanne bio, la démocratie numérique est en marche

Le 19 avril le Parlement européen a voté l’autorisation pour les agriculteurs bio de revendre leur « semence paysanne ».

Je me réjouis de voir les conséquences… à mon avis, un gain de perspective qui va booster le déploiement de l’agriculture bio dans les prochaines décennies, aujourd’hui réduite à la portion congrue,  ce qui est inacceptable.

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Transition Sociétale : Mon dieu, la fin du travail, comment allons-nous vivre ?

La fin du travail, la fin de l’emploi, la fin des haricots, la fin de tout, terrible, qui fait peur, tous au chômage, dans la misère, inutiles, vivant d’assistanat, quelle horreur ! Mais qu’allons-nous devenir ?

Un article de Renouveau Sociétal Continue reading

L’agroécologie est l’avenir de l’humanité

L’agroécologie oui, il y a même péril en la demeure, l’agriculture manuelle, non. Et des concepts comme ceux de Pierre Rabhi ou Fermes d’avenir, de Maxime de Rostolan, posent le problème de la crédibilité de cette agroécologie en propulsant ces visions populistes au-devant de la scène. 

Le populisme est toujours un grave problème et dans ce cas précis encore plus, parce que la vision propulsée est bucolique, poétique, romantique même. De facto, sa pénétration est bien plus considérable que la réalité du devenir de notre agriculture, qui n’est de loin pas aussi simpliste. Du coup, ceux qui devraient être des amis, parce que conscients du problème, deviennent des adversaires…  Continue reading

Crédit social : crédit démocratique ?

Les chinois prévoient d’introduire d’ici 2020 un système de crédit social reposant sur le comportement individuel. Le comportement inadapté de chacun le priverait alors tout bonnement de certains droits et le restreindrait dans d’autres, plus son crédit social et plus sa vie devient pénible. 

C’est la levée de bouclier sous des cris d’orfraie en Occident, faisant référence à divers films de cinéma, relevant que c’est un moyen de museler l’opposition, un moyen d’oppression. Pas moi, qui pense que c’est au contraire jeter bébé avec l’eau du bain et que le crédit social est la base de la démocratie et de la liberté.  Continue reading

Le QI ne baisse pas, il évolue avec la révolution numérique

Imaginez que vous ayez une très grosse machine électrique à alimenter. Au début du 20ème siècle vous auriez installé un énorme interrupteur, avec des contacts énormes et un levier gigantesque que seul un gros costaud pourrait manipuler. Après un siècle d’évolution, vous remplacez l’interrupteur par un énorme relais, dont la bobine est commandée par un petit bouton. Vous pressez le petit bouton, qui alimente la bobine du relais qui plaque aussitôt les contacts faisant démarrer la machine.

Maintenant vous imaginez que vous remplacez la force du gros costaud qui actionne le gigantesque levier au début du 20ème siècle par le QI et vous remplacez le petit bouton qui actionne le gros relais par un terminal informatique, votre ordinateur ou smartphone ou tout autre objet connecté interagissant avec le réseau… Continue reading

Un monde de moins en moins démocratique : La politique est une frontière que l’intérêt commun permet de franchir… 

Le magazine The Economist publie une étude de son institut d’observation de l’intelligence économique qui fait le point sur la démocratie dans le monde. Et il fait le constat qu’elle est globalement en baisse… et c’est normal !  Continue reading

55ème anniversaire des Accords de l’Elysée, le discours d’Angela Merkel et Emmanuel Macron

Un peu d’histoire de l’Europe pour comprendre un peu mieux le processus qui nous a menés là où nous sommes, qui n’est encore qu’une étape vers une Union européenne plus intégrée, mais qui a d’ores-et-déjà considérablement amélioré le niveau de vie de beaucoup de monde et ouvert largement les frontières, engendrant déjà la première génération européenne, appelée « génération Erasmus ». Un million de jeunes qui avant d’être nationaux, sont européens, des cosmopolites, qui parleront plusieurs langues, vivront là où se trouvera leur vie, quelque part sur un territoire de près de 5 millions de kilomètres carrés qui n’a pas encore fini de s’étendre. Continue reading

L’inégalité n’a eu de cesse de se creuser depuis 40 ans en raison du refus de la transition sociétale du 21ème siècle

Le Monde pond un article précis sur la croissance de l’inégalité, deux termes qui devraient être antagonistes dans un monde idéal. Mais il confirme l’acharnement au déni de la vérité sur l’origine de cette inégalité. Continue reading

Non, l’Allemagne n’est pas le « meilleur élève de la Zone Euro »…

Toute l’Europe se gargarise de la prétendue réussite allemande, ce qui est quand même un peu fort de café  et me hérisse le poil de ma chair de poule. 

L’Allemagne a consenti à des sacrifices, mais elle est loin d’être tirée d’affaire et en réalité elle n’a jamais été aussi instable et en péril qu’aujourd’hui, elle est clairement le maillon faible de l’UE. Continue reading

La secte végane, beaucoup s’en sortent, mais la pression est telle qu’ils n’osent pas en parler !!

L’obnubilation des végans, jusqu’à la négation de l’évidence, jusqu’à l’absurde, est le premier signe de la dérive sectaire. Je m’y suis très souvent confronté et je n’ai pas peur de dire aujourd’hui clairement que je suis passé expert sur le sujet. Le moindre propos négatifs sur les végans engendrent un flot ininterrompu d’injures, fait de vous un esclave du capitalisme, un mouton des médias, un crédule inconscient, le tout appuyé sempiternellement par les mêmes arguties qui vont d’absurdes à débiles ! Et je n’utilise pas ce mot vainement. 

J’explique souvent que si les végans sont des végétaliens, les végétaliens ne sont pas des végans. A la limite, je dirai qu’on reconnaît plus volontiers un végan à ce qu’il dit plus qu’à ce qu’il bouffe. Végétalien, c’est un mode de vie, végan, c’est une dérive sectaire. Les végétaliens ne croient par exemple pas que nous avons un système digestif plus proche des herbivores que des carnivores ou que notre dentition est herbivore, pour ne parler que de la surface.

Morgan s’en est sortie, elle qui gagnait sa croûte en faisant des videos véganes et a eu le courage d’en parler et de nous apprendre qu’en réalité il existe un véritable monde de gens qui s’en sont sortis mais n’osent en parler, tant la virulence des adeptes est considérable.

Le visionnage de ces videos vous prendra une bonne demie-heure, mais vous verrez, c’est instructif. Continue reading

Pourquoi la France fait soi-disant « moins bien » que l’Allemagne ou le Royaume-Uni sur le chômage ?

Réponse  …parce qu’elle n’a pas encore abandonné son modèle socio-économique respectueux de l’humain !

En effet, c’est en France qu’il y a le moins de travailleurs pauvres. L’Allemagne, la Suède, le Royaume-Uni, ont tous pratiqué la même méthode pour résoudre leur chômage : ils ont creusé l’inégalité en paupérisant les plus pauvres des travailleurs.

…Et c’est ce que s’apprête à faire la France avec Macron et, comme de juste, il n’est jamais nécessaire d’attendre longtemps pour me donner raison. En gros, ce qui est dit dans cet article, c’est qu’en expliquant mieux les avantages sociaux on peut négocier les salaires à la baisse, tout simplement.  Continue reading

Pourquoi travailler absolument au lieu d’avoir des activités intelligentes ?

RTL pose la question : « a-t-on besoin de travailler ? », dans une excellente émission. Et la question est pertinente, parce qu’il est considéré que celui qui ne travaille pas est un oisif. Ne pas avoir d’emploi, une malédiction. Alors que c’est le travail, d’avoir un emploi, qui est une malédiction. Avoir un emploi, c’est faire la vie d’un autre pendant qu’il décide de la nôtre, c’est laisser quelqu’un d’autre s’occuper de nos affaires pendant qu’on est trop occupé à travailler. C’est s’interdire toutes les opportunités en les laissant à un autre. Dans la vie on travaille ou on gagne de l’argent, mais on a pas le temps de faire les deux. Continue reading

Cryptomonnaie : La marchandisation généralisée de la monnaie est en route

J’ai eu échangé sporadiquement avec Pascal Ordonneau –que j’apprécie particulièrement, profondément banquier de son état, économiste progressiste moderne–  depuis des années sur Le Cercle Les Echos (où je ne vais plus depuis que le site a été remanié, je n’aime pas). 

Son article (à lire impérativement) est prégnant, il ne met pas en garde contre le Bitcoin ou le prix de l’or au travers de cette pièce de 1000€ qui le vend à quasiment deux fois sa valeur, mais contre la marchandisation de la monnaie. 

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La vacuité des idées, symptôme de l’obsolescence du vingtième siècle

S’il y a une chose que cette présidentielle a bien mis en exergue, c’est l’obsolescence de notre système socio-économique, à travers de la vacuité des idées des candidats. Même –et surtout– chez les plus volubiles, à l’origine d’un incommensurable populisme auquel, malgré son apparente flamboyance sur les réseaux sociaux, les français ne se sont finalement pas laissés prendre, nous amenant à la plus ridicule confrontation finale de l’Histoire de la Vème république et probablement d’autres avant elle. Continue reading

La taxation des robots en compensation de la fin du travail est absurde

Le concept même de taxer les robots est absurde, tout simplement parce que l’automatisation de la société ne signifie pas que les robots vont remplacer l’Homme, mais que la notion de travail va évoluer.

Il ne faut pas imaginer qu’on enlève un, deux, trois, salariés dans une usine et qu’on met un robot à leur place. Ca, c’était dans les années 80. Non, c’est plutôt que ce que faisaient les salariés… on ne le fera plus ! Continue reading

Une musulmane sans voile, c’est une française, une française voilée, c’est une musulmane

Il y a longtemps que je soutiens qu’une musulmane sans voile, c’est une française, alors qu’une française voilée, c’est une musulmane. Une idée qui ne devrait pas déranger si la naturalité de la chose n’était pas ce qu’elle est et Elisabeth Badinter s’en offusque en attaquant les fabricants occidentaux de vêtements islamiques

Bien que je comprenne son appréhension plus épidermique que rationnelle envers l’expression de la soumission que représente le voile, qui a nécessité tant de combats, jusqu’à tout récemment et que j’abonde volontiers dans son sens, je ne suis quand même pas tout-à-fait d’accord avec elle et je pense au contraire que la mode islamique va dans le bon sens et c’est avec le plus grand respect dû à l’estime que je porte à cette magnifique personne que je lui réponds…. Continue reading

L’inégalité humaine du transhumanisme

La question du transhumanisme, une fois de plus, ne se pose  pas. Il n’est pas question de savoir si c’est bien ou si c’est pas bien, si on doit l’accepter ou pas, il arrive, point. Donc on doit l’accepter. Si on est pour, on est heureux, si on est contre, ben on fait avec, ce n’est pas un choix. 

…Mais où les transhumanistes se trompent, c’est que le transhumanisme créera bel et bien de l’inégalité sociale et sociétale et ce même si les gains de productivité sont répartis dans la population. Cette inégalité viendra de l’Homme lui-même, de sa nature. Continue reading